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Le manque de bancs ,une urgence au Lycee Fritz Pierre LouisNous avons dans ces lignes un texte narratif qui aborde le plus grand de tous les problemes au lycee Fritz Pierre Louis,celui du manque de bancs.Soyez attentifs!!!! LE MANQUE DE BANC, UNE URGENCE AU LYCEE FRIZ-PIERRE LOUIS. Le 7 septembre 2015, premier jour de la rentrée scolaire le lycée fritz pierre Louis situé a l’angle des rues Saint Honoré et rue Monseigneur Guilloux accueillirent dans ses rangs deux nouvelles admises Cyril Monika Lowensky et moi Johanne Boutin. Un nouveau local, une nouvelle salle de classe, une nouvelle camarade… De très tôt on se lia d’amitié parce qu’on partageait les mêmes passions pour l’écriture et la lecture .On jouait, on blaguait, on étudiait ensemble .on ne faisait pas que ca, on voulait changer des choses dans notre école .Ainsi on ne rate jamais une occasion de trouver solution a nos problèmes. C’est ainsi que le jour de la fête des philosophes un éminent du ministère de l’éducation nationale et de la formation professionnelle, Mr Nesmy Manigat visitait l’institution .Comme touts les élèves Monika et moi répétaient sans cesse : << Minis lan la >>. On voulait tous le voir. Monika et moi, on voulait discuter de quelque chose de très sérieux avec lui. On voulait lui raconter notre calvaire pour trouver un banc, un simple petit blanc. Dommage que le ministre n’était pas venu nous voir au Nouveau Secondaire I !!!!Dommage qui avait interdiction formelle de sortir ce jour la . Eh oui !!!!!, le ministre est parti sans avoir la chance de lui conter notre histoire de banc. On devait laisser cet événement malheureux derrière nous et continuer notre calvaire, notre combat de chaque jour. Sinon on passera la journée debout ou coincée sur un petit banc . Mes amis !!!!, c’est fatiguant de soulever un banc lourd, de monter un escalier de 17 marches tout les jours .Sans vous cacher, pour obtenir un banc, on a parfois recours a la violence .Même les plus petits ne sont pas épargne, on a même pas le temps de réviser le matin. Et des fois on prend un banc et on le dépose en salle et une fois la montée du bicolore termine, on rentre en salle, on cherche son banc, voila on s’est fait duper !!!!!. Pas de banc pour s’asseoir et on ne peut rien faire. Nous ne savons pas si vous pouvez imaginer ce scenario chaque matin sans exception ; des notre entrée .C’est désolant !!! Ayant entendu parle du concours de texte de JobPaw Monika et moi, on s’est dit si nous gagnons cet argent. Comment allons-nous faire pour résoudre le problème. Comment procède à la résolution de ce problème ? D’après Clefton Paul, élève de terminale nous a raconte :<< le problème n’as pas toujours demeure au sein de l’école, c’est il y a 2ans de cela que ca a commence et ce calvaire dure toujours, personne ne se prononce sur ce sujet…>> IL faut penser à avoir une quantité stable de bancs pour les deux vacations AM et PM. Parce que ce sont les élèves du PM qui viennent dans notre bâtiment, enlèvent nos bancs pour les mettre dans leur bâtiment. Il faut faire la commande d’un maximum de quantités suffisantes de bancs en fonction du nombre d’élèves).A mon avis, on doit ajouter au minimum 25 bancs par salle et, toujours vérifier leur bon état. Le lycée n’étant pas une propriété privée, des décisions doivent être prise par le ministère pour une meilleure éducation et la structuration de l’école. Ce qui peut nous fournir un moyen de nous tirer de cet embarras, ce sont les ressources financières venant de partout qui nous aideront à atteindre nos objectifs. Les ressources financières de l’Etat et du MENFP pourront être favorable à notre situation parce que nos ressources ne seront pas suffisantes. La durabilité de la solution passe a travers la sensibilisation des élèves (ne pas détruire les bancs, ni se mettre debout dessus, ne pas s’asseoir sur le table des bancs).Parce que en les détruisant, on paie les conséquences et les dommages .Des mesures strictes pour les garder en bon état (des sanctions aux élèves, indentification des bancs…) Au fil des ans, beaucoup peut se faire pour le développement de l’établissement comme pour d’autres écoles publics .Donc les autorités en questions devraient faire mieux leur travail pour que les générations futur n’aient pas à les surmonter. Boutin Johanne , Cyril Monika Lowensky, Clefton Paul . Rubrique: Education Auteur: Johanne Boutin | Date: 14 Mars 2016 |
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