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LA NOËL, UNE VÉRITÉ À DÉCONSTRUIRELA NOËL, UNE VÉRITÉ À DÉCONSTRUIRE Il y a de cela deux mille ans depuis que le monde souffre d’un mythe que certains ont pris même le vilain plaisir de considérer comme une tradition qui suscite l’espoir et qui comble les besoins, mais un espoir qui n’a jamais été satisfait, des besoins qui n’ont jamais été assouvis : la Noël. On n’a jamais cessé d’errer dans les ouvrages pour trouver le sens de cet évènement que certains qualifient « d’immémorial ». Les écrivains scientifiques en parlent, les poètes, les musiciens, les romanciers également. Mais je doute fort que leur hypothèse baptisant au nom de « la Noël » soit exacte. Depuis toujours le monde est partagé par deux tendances qui ont pour origine une même source : les directeurs de l’humanité. Ici, je parle de l’ésotérisme et de l’exotérisme. Mais laissez-moi apporter une précision : c’est la première qui détermine la deuxième, qui l’entretient et qui la domine. Et dans une société où les vivants n’étaient pas prêts pour recevoir le flambeau, symbole de la connaissance et de la vérité, il ne pouvait pas s’exercer que de cette manière : le Camouflage. Ces théoriciens qui nous font acculer dans l’ignorance ont fait usage d’un langage dont seulement leurs semblables pouvaient décrypter. Tout ce qu’on croyait être à l’abri d’interférence venait d’eux : Le concept de « Jour », « Nuit », « Enfer », « Paradis ». En fait, tout est le fruit de leurs propositions, car ils qui détenaient la pensée. Pour eux, le bon sens n’est pas l’affaire de tout le monde. Voilà ce qui justifie leur raison de nous mystifier jour après jour, année après année, siècle après siècle. Mais qu’en est-il d’un monde qui produit des ressortissants qui pensent, qui questionnent et qui élaborent ? Que pensent-ils de ces derniers ? Peut-être qu’ils iront faire corps avec leur doctrine en vue de toujours laisser coffrer dans le tiroir la lumière qui pourrait éclairer les fils de ce siècle. Revenons sur le thème de notre réflexion. Ces messieurs nous affirment l’existence d’une illusion liée avec la naissance d’un type qu’on croyait être le fils de l’être, celle que j’appelle « une fable ». 25 décembre, c’est quoi cette date à laquelle on attribue cet évènement suborneur ? Il serait très téméraire de ma part de faire une touche raisonnable sur cette nuit dans laquelle naquit le mythe : Jésus. Et je crois qu’une approche sainement astrologique nous facilitera vraiment la réalisation de la tâche. Tout comme on ne l’aurait pas cru, l’univers est habité par une flopée d’entités. On les donne divers noms : Archange, Psychopompe, Ange, Ange-Gardien, Génie et j’en passe. Mais à force de nous berner, ces messieurs qui détiennent le pouvoir de ce monde divisent chacune de ces catégories en cinq groupes, ce qui laisse à supposer l’existence des cinq éléments, selon la légende : la Terre, l’Air, l’Eau et le Feu, l’Amour. Arrêtons-nous là un peu et faisons jaillir de la lumière sur le quatrième élément qui, par son effet, s’avère être le premier. On attribue le feu à la lumière, la vie, la connaissance, la candeur. En fait, on dit de lui qu’il est le prototype puisqu’il anime, renforce la volonté et procure le savoir. Eh bien, selon l’harmonie des constellations, la légende dit qu’elle rôde d’un point à un autre et cédant la place aux autres entités de se manifester. On sait bien qu’il est attribué à Michaël Archange et les autres Raphaël, Gabriel, Auriël. Vu son importance primordiale, comme je viens tout juste de le préciser, son retour à sa place initiale suscite toujours estime et appréciation. C’est pourquoi on l’honore en l’accueillant avec enthousiasme. Et pour bafouer la vérité on l’enveloppe d’un mystère que seulement les initiés ont la capacité d’en décoder le sens, ce qu’on croyait être la naissance de la lumière. Sans doute vous allez me dire : « mais la Bible dit, dans l’Évangile, selon Saint Jean il est écrit que Jésus est la lumière, la vérité et la vie et que personne ne peut voir son père sans passer par lui. » Et je trouverai ici une noble occasion pour vous éclairer sur un autre point qui ferait l’objet de tout un ouvrage. Et du même coup je vous proposerais de répondre à ces questions : C’est quoi la Bible ? Pourquoi a-t-elle été écrite et par qui ? Tant que nous ne soyons pas conscients de notre ignorance, la vérité ne nous traversera jamais. La Bible, bien que son orthographe ait une lettre majuscule en début, est un code de conduite écrit par des écoles de pensées et ordonné par Denis le Petit. Cet outil a été fabriqué pour un peuple bien déterminé, c'est-à-dire dans un contexte propre. Je vous peins ce tableau historique seulement pour vous faire comprendre que ce n'est pas une œuvre disponible à la compréhension du commun des mortels. Ce n'est pas un texte dont la compréhension est possible grâce à votre habileté de lire. Dans ce cas il faut des bases exégétiques, herméneutiques et kabbalistiques ; des notions qui étaient réservées seulement à un petit nombre, qu'à une catégorie d'élites qui dominent depuis que le monde sorte de sa coquille et qui, sans doute, continueront à nous dominer tout autant que ce monde restera en dehors de sa conscience. Jésus, ce personnage mythique dont la Bible nous parle, n’a pas voulu s’identifier à la lumière, mais une façon de nous offrir la naiscience de la source qui vivifie, qui restaure et qui punit également. Ne soyez pas naïfs. Eh bien, je crois que vous avez bien appris sur l’objet de notre mythe qui nous pusillanime depuis très longtemps. Ainsi vous cesserez de composer des textes poétiques pleins de stupidités et dépourvus de sens dans le but d’honorer la Noël. Vous cesserez enfin de contempler le hasard, ce qui vous facilitera donc de voir le monde autrement afin de bien construire votre présent. Car le passé et le futur ne sont qu’illusion engendrée par votre cerveau assoupi sous le poids des bruits des temps qui passent. Maitre Santrado CHARLES, psychologue, psychopédagogue, linguiste professeur charlessantrado@yahoo.fr Rubrique: Divers Auteur: Santrado CHARLES | Date: 28 Dec 2018 |
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